Disney, ce n’est pas qu’une souris et des attractions. Disney, c’est une façon de vivre et une leçon de vie à la fois. Une façon d’apporter un peu de magie au plus grand nombre.
La nouvelle action du Fonds de conservation Disney repose une nouvelle fois sur ces principes. Elle a été présentée notamment par le Dr Jane Goodall, qui a déjà vu ses projets financés par le DCF lors du quinzième anniversaire du parc Disney’s Animal Kingdom, le parc dédié au monde animalier et à l’environnement au cœur de Walt Disney World Resort en Floride.
Les enjeux du programme
Ce programme a deux grands enjeux : conserver et arrêter le déclin de 10 espèces animales particulièrement menacées, et d’autre part, amener les plus jeunes à créer un lien particulier avec la nature et leur environnement.
Pour ce faire, le fonds de conservation va être amené à travailler avec des associations sans but lucratif proches des enfants, dont celle du docteur Jane Goodall. Dans ce contexte, Disney mettra à disposition les compétences et savoir-faire de ses équipes (scientifiques, éducateurs, vétérinaires) collaborant avec les organisations pour protéger les espèces animales et leur environnement. L’engagement de Disney n’est donc pas seulement financier mais humain, dans l’optique d’un partage prolifique des moyens et des savoirs.
Le programme se découpe en deux volets distincts : Inverser le déclin (Reverse the decline) et Rallonger le temps (Increase the time). Dans les dix années à venir, l’objectif est d’inverser le déclin des espèces menacées et d’augmenter le temps passé par les enfants dans la nature, mais également de sensibiliser cette prochaine génération à la protection de cette dernière.
Le volet « inverser le déclin » a pour but de diminuer ou toutefois de stabiliser le nombre d’espèces animales menacées, mettre en place des stratégies afin de préserver les dix espèces animales protégées par le programme, réduire les comportements néfastes de l’Homme sur les animaux par de la sensibilisation et réhabiliter et réinsérer les animaux dans leurs milieux naturels.
Le fonds a choisi de particulièrement protéger les dix espèces suivantes :
- le tigre de Sumatra (braconnage, réduction de son habitat naturel suite aux empiétements de l’Homme, commerce illégal)
- les papillons (d’importants pollinisateurs peu protégés en raison de leur caractère atypique et symbolique)
- les récifs de corail qui sont des écosystèmes en eux-mêmes et des barrages naturels (détérioration par l’acidité de l’eau, l’ancrage des bateaux, l’idée étant de réduire les contacts humains)
- les éléphants (commerce illégal d’ivoire et braconnage, représailles)
- les grands singes, gorilles et chimpanzés (chasse, capture, commerce)
- les oiseaux migratoires comme les grues (perte de son habitat en terres humides lors de la migration, notamment en Chine)
- les singes tamarins (commerce illégal)
- les rhinocéros de Sumatra (perte d’habitat et braconnage)
- les tortues de mer en Floride (mort dans les pêcheries, perte d’habitat, d’alimentation, changement climatique)
- les requins et les raies (surpêche, perte d’habitat, pollution)
Le volet « rallonger le temps » s’inscrit dans la logique poursuivie depuis 1995 dont le but était de connecter 35 millions de familles et d’enfants avec la nature avant 2015. Cet objectif périlleux à été atteint, avec un an d’avance d’ailleurs. Le bilan du DCF est un don de subventions d’un montant de 40 millions de dollars à des organismes à but non lucratif dans un total de 115 pays afin d’encourager les projets dans ce sens par les organismes en question.
Le nouveau programme reste dans cette optique : il a été prouvé que les enfants en contact avec la nature sont plus heureux et en meilleure santé, et davantage sensibilisés à la préservation de la nature et des animaux.
Les associations impliquées ont des domaines d’actions différents :
- 4-H (des expériences pratiques au sein de clubs scolaires et de camps d’été pour inspirer les jeunes à protéger et respecter la nature au sein de 8 états des États-Unis)
- l’association des zoos et aquariums (un encouragement moral et financier aux familles et aux institutions à se familiariser avec la nature)
- les Enfants et Nature Network (un travail collectif pour relever les défis de la recherche autour de la nature)
- l’IFAW (fonds international pour la protection des animaux) qui rassemble des jeunes en Afrique du Sud avec des experts pour mieux comprendre la nécessité de conservation de la faune sauvage
- Roots and Shoots de Jane Goodall (une vision par des jeunes de placer le pouvoir et la responsabilité dans la création de solutions communautaires)
- National Park Foundation (NPF) (pour offrir des subventions aux écoles locales et permettre des excursions dans les parcs et les monuments historiques à proximité)
- National Wildlife Federation (un financement à 16 villes américaines pour revitaliser leurs parcs et améliorer l’accès des enfants au sport et à la nature)
- National Wildlife Federation (elle encourage les familles et les enfants à vivre des expériences en plein air au milieu de lieux privilégiés pour les papillons)
- Nature Conservancy (qui soutient les jardins scolaires et octroie de minis subventions aux écoles pour la création de jardins naturels afin que les enfants accèdent à la nature)
A travers ses actions, Disney montre qu’elle est une organisation au grand cœur, qui favorise le vivre ensemble. Et malgré son envergure planétaire au sein de bientôt six parcs partout dans le monde, la nature se trouve préservée.. Et son impact est même plus grand, là où les animaux, la nature, les enfants, les plus grands en ont besoin.
Après tout, n’est-ce pas cela la VRAIE MAGIE ?
Quel est le tarif pour le parc Disney ?
Si vous avez l’intention de rendre une petite visite à Mickey et Minnie, il est préférable de prévoir un petit budget puisque les billets demandent un réel effort surtout si vous êtes plusieurs et que vous souhaitez séjourner quelques jours sur place. Si vous cliquez ici, vous aurez accès à tous les tarifs pratiqués en fonction des profils et des situations.
- Pour les adultes, le billet est forcément plus élevé, il faut compter 56 euros pour un seul parc contre 51 euros pour les enfants.
- Si vous souhaitez un billet Magic, il faut prévoir 74 euros et 68 euros pour les plus jeunes.
- Pour découvrir l’ensemble du parc, il est préférable de rester plusieurs jours. Le billet pour 48 heures est facturé 211 euros, ce qui n’est pas négligeable.
Ce sont des prix indicatifs bien sûr, ils peuvent évoluer en fonction de la saison et des promotions réalisées par le parc. Il faut également noter que vous avez des packs proposés, ils prennent en compte l’entrée pour les deux zones ainsi que l’hébergement. Il est difficile de partager des prix puisqu’ils sont différents en fonction des hôtels. Vous devez de ce fait opter pour une simulation sur Internet.