La Reine des Neiges serait, selon le pasteur Kevin Swanson (animateur d’une émission sur la très chrétienne radio en ligne Generation radio), un film servant à endoctriner le jeune public en l’incitant à devenir homosexuel. Quand Disney se fait diaboliser une fois de plus…
La Reine des neiges des Walt Disney Animation Studios
Assuré de voir La Reine des Neiges faire l’apologie de l’homosexualité et de la zoophilie, le pasteur – qui avoue ne pas avoir vu le film – se base sur quelques scènes pour défendre son point de vue.
Ainsi, selon Kevin Swanson, le fait qu’Elsa, une princesse qui a le pouvoir de geler tout ce qu’elle touche, accepte sa différence et le chante sur l’air de « Let it Go » (« Libérée, délivrée » en français) rappelle le coming-out des homosexuels. Pire, toujours selon le pasteur américain, l’absence d’un prétendant masculin ne fait que conforter sa première impression. Il ajoute à propos de « l’une des entreprises les plus pro-homosexuelles des Etats-Unis », qu’elle entend « endoctriner lentement » les enfants à travers ses productions. « Je ne suis pas un conspirateur fou mais je me demande parfois s’il n’y a pas quelque chose de diabolique derrière. Si j’étais le Diable, qu’est-ce que je ferais pour véritablement réduire en miettes le système social dans son intégralité et faire quelque chose de vraiment, vraiment, vraiment diabolique pour les enfants de 5, 6, 7 ans de familles catholiques en Amérique ? » déclare-t-il « J’aurais acheté Disney en 1984, c’est ce que j’aurais fait ! ».
Et comme l’homme de foi n’en a pas assez, il s’attaque également à une scène où un personnage masculin salue « la famille » composée d’un autre homme et d’enfants : un couple homosexuel, selon Kevin Swanson.
Héros secondaire du film, le personnage de Kristoff en prend également pour son grade. En bon montagnard qu’il est, sa relation « contre-nature » avec son renne pose problème au pasteur américain. A en croire Kevin Swanson, Disney aurait voulu promouvoir la zoophilie qu’elle ne s’y serait pas mieux pris.
« Sans être partisan de la théorie du complot, je me demande s’il n’y a pas quelque chose de maléfique à l’œuvre », conclut le pasteur.
Jennifer Lee, a laissé planer le doute : « Nous savons ce que nous avons fait. J’estime qu’une fois le film terminé, il appartient au monde, donc je ne ferai pas de commentaires, et je laisse les fans discuter. »
Venez découvrir à travers ce montage l’évolution de la princesse Anna du film La Reine des Neiges, du début à la fin…
La Reine des Neiges
Le Disney de Noël La Reine des Neiges sort demain sur les écrans français alors qu’il est en salles depuis mercredi 27 novembre dernier aux Etats-Unis. Une histoire pour le moins surprenante fait parler d’elle aujourd’hui. Des spectateurs venus assister à la projection du film dans un cinéma en Floride ont été surpris de découvrir… une scène pornographique !
La Reine des Neiges : une scène pornographique diffusée aux Etats-Unis
Un incident dont ce cinéma en Floride se serait bien passé… Sorti en salles depuis le mercredi 27 novembre outre-atlantique, le Disney de Noël La Reine des Neiges réalise un démarrage excellent. Le film s’est vu par ailleurs se voir attribuer la note de A+ par les spectateurs sortis de salle. Le film de Chris Buck et Jennifer Lee débarque dès demain en France comme vous le savez mais affiche déjà pas moins de 57 000 entrées au cinéma Le Grand Rex à Paris depuis le 19 novembre dernier, où il y est proposé en exclusivité nationale.
Néanmoins, l’incident que nous allons vous expliciter dans un instant fait le buzz depuis quelques heures sur la toile. Les spectateurs qui se sont rendus au cinéma Regal Cinemas Park Place Stadium 16 à Pinellas Park en Floride ont vu la projection du film débuter par une scène d’un autre film. Un film ciblant un public radicalement opposé… C’est ce que nous rapportent certaines personnes présentes dans la salle sur la chaîne d’information FOX 13 :
« Cela ressemblait à Steamboat Willie, l’ancien dessin animé de Mickey Mouse, et là, tout à coup, il y a eu cette autre scène » a ainsi expliqué une grand-mère présente dans la salle. Celle-ci assure que la séquence a duré plusieurs longues minutes. « J’ai essayé de couvrir les yeux de mon petit-fils. Mais je n’avais pas assez de main pour couvrir ses oreilles aussi donc il a pu très bien entendre le son » s’est-elle agacée. Néanmoins, si le cinéma reconnaît une erreur lors de la diffusion du long métrage Disney, l’établissement tempère un peu.
En effet, un porte-parole du cinéma a déclaré que l’incident n’aurait duré « que » deux minutes. Pour compenser le tort, le cinéma a non seulement pris des dispositions pour pallier à ce genre de problème technique vraisemblablement mais a aussi et surtout réparer son erreur en offrant des contremarques gratuites pour des futures séances. On ne sait pas si ces spectateurs reviendront de si tôt tant leur expérience Disney a été quelque peu chahutée dans cet établissement…
J’ai vu le film hier et je tire les mêmes conclusions que ce pasteur.
Il est évident que ce dessin animé cherche à briser les « stéréotypes » du prince et de la princesse, ce qui m’a particulièrement interpelé c’est la mort des parents des 2 princesses au début du film, cela a vite été expédié, puis on fait tomber un voile noir sur leur portrait (tourner une page sur le couple traditionnel, les parents trop conditionnants). A la fin la reine finit sans roi. Comment ne pas voir là une volonté de faire disparaitre le couple homme / femme, au profit d’autres types de parentalités (la famille de trolls qui adopte le petit Krystophe n’en est qu’un exemple et que personne n’a semble-t-il relevé)
Le troll au début dit également qu’il est facile d’influencer la tête mais non le coeur, juste avant la mort des parents puis la libération de la princesse héritière du trone. Référence aux conditionnements des parents bien évidemment (qui soit disant nous gavent de stéréotypes et nous empêchent d’être vraiment libres et nous mêmes).
Rappelons le célèbre « il faut arracher les enfants à l’éducation et l’influence de leurs parents », ce film ne transpire-t-il pas cette volonté qui n’est évidemment pas que dans la tête de Vincent Peillon ! Séparer les enfants de leurs parents pour les libérer et leur proposer d’autres formes de familles et de comportements, sans distinction de ce qui est bien ou mal (ça aussi c’était dans la bouche de la jeune reine). C’est bel et bien le sujet de ce Disney !
Gageons que les prochains disney seront progressivement de plus en plus plongés dans ce genre d’idéologie.
Même s’il remet en question la famille traditionnelle, je n’y vois aucune apologie de l’homosexualité et encore moins de zoophilie …